Les pelotes des P’tites Mamies : détricoter pour donner

Description

Ces pelotes représentent des heures de détricotages, fait par des mains parfois cabossées et toujours pleines d’amour, des heures données pour d’autres, de belles heures de VIE.

Merci de participer à ce cercle vertueux. Le détricotage a fait sans doute quelques “frisettes” au fil, mais une fois retricoté, il reprend toute sa douceur et son moelleux. Ces matières sont des fibres d’exception, choisies avec soin, par Missegle qui s’engage dans le respect de l’environnement et des hommes.

Notre collaboration avec l’atelier Missegle dure depuis plus de 30 ans, Myriam est une amie qui a fait ses études avec Olivier (le berger) et qui a importé depuis le Texas, les premières chèvres angora en France dans les années 1985, puis les nôtres en 1987. Aujourd’hui, c’est dans son atelier que nos chaussettes, écharpes, snoods… sont tricotés. Du beau travail et une belle amitié.

Alors, soutenons tous Mamie Rose et à travers elle, soutenons les éleveurs en Mongolie !

Vous connaissez des P’tites Mamies en maison de retraite ? Vous êtes une maison de retraite ou une association de personnes âgées et vous voulez vous aussi participer au “Pelotes des P’tites Mamies” – Contactez-vous>>>

URGENCE MONGOLIE

Venir en aide aux éleveurs nomades en Mongolie. De nombreuses familles ont perdu jusqu’à 70% de leurs animaux, en particulier les yacks, dont elles dépendent pour vivre. L’hiver dernier, une vague de froid extrême allant jusqu’à – 50°C accompagnée de fortes chutes de neige s’est abattue sur la Mongolie entraînant la perte de leurs troupeaux. Pour toutes ces familles, l’espoir de continuer à vivre dans les steppes s’amenuise.

Face à cette situation, il est urgent de nous mobiliser pour soutenir ces communautés ! L’intégralité des bénéfices de ces pelotes sera versé à l’association Agronomes et Vétérinaires Sans Frontières (AVSF),  dons qui seront intégralement reversés aux éleveurs.

Votre aide et votre générosité sont plus que jamais nécessaires. Ensemble, nous pouvons redonner un peu d’espoir à ces familles qui luttent pour vivre dignement et leur éviter d’abandonner leur mode de vie traditionnel pour se sédentariser dans de vastes bidonvilles sans eau ni électricité en périphérie de la capitale. Chaque geste compte et permettra de reconstruire des vies et de préserver une culture si précieuse.